L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : Soixante-dix-neuf lettres de guerre - Jacques Vaché - 1997 (Correspondance)
Sélectionnée par : Médiathèque Jacques Demy - Nantes
Et s’affalent de vieilles voluptés solitaires
dans la tranchée boueuse et étouffante. Audrey - Marseille, France
La peur me glace le sang et mon esprit s'évadeViolaine - Nantes
me ramenant chez moi, devant un repas chaudLisa - Rezé
Et la braise crepitait. Le chandelierMarie - Nîmes, France
s'éteint, ainsi que ma vie.Mina - Marseille
Et s’affalent de vieilles voluptés solitaires
Dans la tranchée, la mort nous guettent, nous Mina - Marseille, France
attendons le début de la fin avec impatience ;ANNIE - NANTES
Impatience finie dans l'espace infini ?Jocelyne - Marseille, France
Je fixe les moulures.Camille - Issy-les-Moulineaux, France
je ne peux pas écrire je rêve de prendre l'airFrancine - Rue de la République, Oullins, France
Et s’affalent de vieilles voluptés solitaires
Par ses mains sur son Corps abandonnéElise - Nantes, France
, la douleur jaillit. Elle crachait l'horreur.Marie - Nîmes, France
Dans sa tête, une lumière s'alluma. Quoi ? EtChristine - Avignon, France
il ne trouva pas l'interrupteurJean-Yves - Clermont-Ferrand, France
de la planète Covid 19.Gwen - Nantes, France
Et s’affalent de vieilles voluptés solitaires
On s’était juré d’arrêter. Pourtant vois-tu, Mélanie - Nantes, France
l'horreur est là... près de nousDelphine - Nantes, France
Je ne veux pas entendre... j'ai peur...Delphine - Nantes, France
je retiens mon souffle, aux aguets, j'ai froidDelphine - Thouaré-sur-Loire, France
Dernière pièce du puzzle, fin du game. Robin - Nantes, France