L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : Manifestes du surréalisme - André Breton - 1985 (Essai)
Sélectionnée par : Médiathèque Jacques Demy - Nantes
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
Une longue trainée rouge glisse au solElise - Nantes
Son ombre portée me carresse. Il pleut.Marie - Nîmes, France
La caresse de mon ombre me porte. Il pleure.NIKOLAS - Marseille, France
Les rideaux ont dansé vers la nuit. Il sécheraBertrand - Soyans, France
les ailes de papillons aux mille couleurs patrick - Marseille, France
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
C'est une fenêtre à guillotine, bien sûr !Jean Claude - Marseille, France
elle ne s'ouvre que vers le ciel et ne fermeDominique - La Flèche, France
Jamais sa porte aux enfers. Elle est genereuseElise - Nantes, France
elle partage, se mêle, se lie sans retenueeve - Aix-en-Provence, France
Le vent emportera sa mèche rebelle.Mijoub - Saint-Herblain, France
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
sa moitié de la tête sourit tandis que l'autrenathalie - Aix-en-Provence, France
dort paisiblement d'un repos bien récupérateuriBonhomme - nantes
après une journée chargée en émotionsMH - Mars
elle alla chercher son pain, steph - Nantes, France
Les poissons nus volaient par dessus la ville Elyane - Nantes Gare sncf, Nantes, France
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
aurait-on cru. Mais lui, c'est Émile DutilleulTimothée - Vertou, France
l'homme au chapeau de velours. IlMichel - Orvault, France
Scrutait le point de mire. IlAude - Nantes, France
Tirait des milliers de fleurs à la mitrailletteElsa - Sète, France
Mitraillait des pleurs ranimant la paqueretteJocelyne - Marseille, France