L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : La fille surexposée - Valentine Goby - 2014 (Roman)
Sélectionnée par : Médiathèque Luce Courville - Nantes
Dehors le blanc brûle les pupilles
Et mon corps irradie comme le feu. J'ai mal.Christine - Rezé, France
Je brûle, exulte, et me contorsionneAudrey - Marseille, France
ta main sur ma peau, encore, encore ! évade-moimelanie - Marseille, France
De ce corps trop longtemps détesté Claire - Nantes, France
De ce regret de l’humaine nature Jocelyne - Marseille, France
Dehors le blanc brûle les pupilles
Le soleil m'aveugle, ils m'observent Mina - Marseille, France
leurs yeux sont perçants, terrifiantsAnne - Nantes, France
. Leur haleine fétide me pénètre. Vais-je fuirChristine - Marseille, France
Ou m'embaumer de ce doux parfum méphitique ?Sonia.V - Nantes, France
je pars, je fuis , je rentre enfin chez moi !eve - Aix-en-Provence, France
Dehors le blanc brûle les pupilles
Tu me manques, éblouie je ferme les yeuxClaire - Nantes
Vif halo. Où es-tu, mec, par-delà les cieux ?Mélanie - Nantes, France
Allo monsieur ? Oh le bel halo plongé dans l'danielle - Saint-Martin-de-Crau, France
acoustique moëlleuse desRobin - Nantes, France
profondeurs du lit.Annick - Nantes, France
Dehors le blanc brûle les pupilles
La neige a tout recouvert et feutre les sonsElsa - Sète, France
Dans mes oreilles le fort tumulte des émotionsSabine - Alès
raisonne encore à l'aube de cette vie imaginéeFrancis - Nantes, France
mais que tu veux créer ta vie de dessinatrice.Laura - Marseille, France
Trêve de bavardage, à tes crayons, dessines !Louise - Rezé, France