L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : Du trop de réalité - Annie Le Brun - 2004 (Essai)
Sélectionnée par : Médiathèque Diderot - Rezé
moins lointain que le ciel dans les flaques
Sont les larmes dans tes yeux apres la claqueElise - Nantes, France
Et je déchire mes pensées froissėes. LeGwen - Nantes, France
matin, décidée, j'irradie l'envie !mélanie - Marseille, France
Et que les heures anonymes reculent d'un pas !Bertrand - Soyans, France
Maintenant c’est entre toi et moiClaire - Nantes, France
moins lointain que le ciel dans les flaques
Le chant des sirènes toujours plus prèsJocelyne - Marseille, France
m'a donné envie d'aller à leur rencontre.Caroline - La Haye
Au son des tambours, pieds nus dans l’herbeCarole - Nantes
Il chantait des perles de nacre.Michel - Sautron, France
Il avait réussi ! plus rien ne sera comme avantnathalie - Aix-en-Provence, France
moins lointain que le ciel dans les flaques
Ce ciel bleu qui me rassure et me tient en vieClaudie - Marseille, France
au passage des cerfs volants multicoloreseve - Aix-en-Provence, France
Rempli le ciel gris qu'ici on connait que tropCéline - Avignon
invoquer le soleil et son autoritaire brulureMarguerite - Dijon, France
sur les corps en vacances d un mois de juilleteve - Aix-en-Provence, France
moins lointain que le ciel dans les flaques
dans lesquelles sautaient à pieds joints des MH - Mars
gamins à pieds nus. Elle voudrait le refairePerrine - Marseille
Et s'enrouler dans ses brasElise - Nantes, France
S'y lover, s'y couler pour mieux s'en échapperAnnick - Nantes, France
Et pour toujours y revenirMarianne - Nantes