L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : La pâtisserie Bliss - Kathryn Littlewood - 2013 (Roman jeunesse)
Sélectionnée par : Médiathèque Condorcet - Bouguenais
Il n'y avait plus rien à voir
de faire des pâtes carbo !Clément - Nantes
En inspirant le nez au-dessus des fourneaux Elise - Nantes, France
cette odeur me dégoûte, tout comme le fromageEmile - Nantes, France
par contre les tartes aux pommes, quel régal !Colette - Carquefou, France
Acidulées et fondantes, elles n'ont pas d'égalAudrey - Nantes
Il n'y avait plus rien à voir
Si ce n'est la noirceur intense de son regard Sabine - Alès, France
qui consume l'Autre comme une cendre de cigareLaurane - Strasbourg, France
ou qui l'illumine comme un feu follet éphémèreFredilili - Perpignan, France
qui avait cuisiné le dernier ragoût ? Florine - Saint-Denis, Réunion
C'était forcément l empoisonneur et son degoutElsa - Sète, France
Il n'y avait plus rien à voir
Pâtisseries, chocolats s'étaient envolésFrancis - Nantes, France
pour partir, on ne sais où, voyagerLucie - Nantes, France
à la recherche d'expriences et de liberté anne-valentine - Paris, France
je m'envole pour le GroenlandNADINE - SAINT ETIENNE
Là-bas, je pourrais faire mes beignets chérisMarine - Toulouse
Il n'y avait plus rien à voir
seulement le néant sans fin de l'horizon Claire - Autun, France
du trou noir, mais HuguetteHuguette - Huguette, Bistro de la mer, Rue de Seine, Paris, France
enfourcha un vélo et pédala aussi vite qu'elleSoizig - Nantes
Jusqu'à ce qu'il glisse sur une feuilleMarion - Nantes, France
Le stylo était là, seul, décapuchoné, désœuvréJulie - Nantes